samedi 1 mars 2008

No One Gives a Fuck about the Values I Could Die For


Mon coeur me lâche un peu plus de jours en jours, déchiré en deux, et une aiguille inutile pour le réparer. L'amour, je sais pas, de toute façon personne ne sait. Personne ne sait mais tout le monde en est fou. On court tous après les ombres enfumées de nos fantasmes ébréchés, tentant vainement de les retenir tandis qu'ils nous coulent entre les doigts. Minute par minute, seconde par seconde. Il y a celui qu'on aime, qu'on aime vraiment. Qui donne un sens à votre journée. Que vous attendait avec impatience, que vous regardez avec frénésie. Qui vous pousse plus que quiconque dans les bras de la folie. Obsession. Vous vous damneriez cents fois pour lui,juste pour une minute dans ses bras. Qu'il vous dise que si, finalement, vous êtes peut-être unique.Qu'il vous promette tout le bonheur qu'il ne vous offrira jamais. Qu'il vous offre une parcelle d'un illusoire paradis, afin de supporter votre brouillard quotidien un peu plus longtemps. Et qui finira comme tous dans les bras d'une pute , un sourire aux lèvres, ange jusqu'au bout de votre enfer. Mais tant pis, on se ment, et on se dit que c'est peut-être possible. Et vous y croyez, vous vous raccrocher à cette idée. Sachez seulement qu'il n'y a rien pour arrêter votre chute.Et un jour on se retrouve devant un écran, et ce personnage là vous rappelle celui que vous aimiez, celui-ci celui que vous aimez, celui-là celui qui peut-être un jour vous redonnera envie d'être belle. il est amusant, celui qui occupe en apparence toutes vos pensées, bien sur vous en avez parlé, et à présent, vous vous demandez pourquoi tout le monde vient le salir avec le sourire. parce que vous l'aimiez et que peut-être il aurait fallu se taire. Il est étrange, celui qui reste dans le peu d'esprit vaquant, et qui vous torture à chaque seconde. Plaisirs de l'interdit, incontrôlable, qui vous rend muet comme une tombe. Il est mixé votre cerveau, complétement inutilisable. Vous n'êtes plus qu'un objet vivant en apparence, mais à l'intérieur c'est le champ de ruines. Abrutie. Merci l'amour, et il y en a qui tueraient pour ressentir ce que vous ressentez en ce moment, le coeur gonflé, entre rires et larmes,à vous demandez quand il va lâcher.



Je rêve de le toucher donc je ne le toucherais jamais.
Je rêve de lui appartenir donc jamais il ne m'auras.
Je rêve de l'embrasser donc je ne jouerais pas avec lui .
Je creverais de tout lui dire donc je resterais muette comme une tombe.






De toute façon on finira tous par en crever...




1 commentaire:

Anonyme a dit…

Tu sais même si on final on en souffre, l'amour c'est pas toujours aussi nul que ça. deja t'apprends à aimer d'autre choses pour te reproche r de lui et tu te rends compt que t'aurais du faire ça bien avant! ensuite dès que t'es avec lui ou que tu le vois t'es heureuse même si sa te fais souffrir en meme temps.
et on ne peut pas vivre sans amour !