mardi 20 mai 2008

" I Was A Child Of The Suicides And The Leasure"

(en fait Simone vous scinde son truc en deux posts, comme ça c'est plus facile. Mais elle n'apporte aucune modification, donc ça commence n'importe comment...le bureau des réclamations est ouvert de 10h à 21h)




Donc, au départ, Albionship ne prenait absolument pas son clavier pour écrire cela, mais que voulez-vous, elle n'a pas résisté!




En fait, c'était pour vous parler de... Soyez choux mes amis, et tournez moi cette cassette dans l'autre sens!




Be Kind Rewind, donc....







Pour démarrer, Simone précisera que cela fait le troisième film qu'elle voulait voir de Michel Gondry, mais le premier seulment qu'elle a vu. Doué-attitude, quand tu nous tient... Donc après Eternal Sunshine Of The Spotless Mind (nan ça doit pas être ça, mais on y est presque)et La Science des rêves (c'était les deux films que je voulais donc voir, pour ceux qui n'ont pas un cerveau 4 chevaux) , le petit bricoleur onirique revient avec un film tout fou tout fou. En très gros, un mec que j'aime à la folie (Jack Black) se prend un sacré coup de jus dans une centrale électrique, du coup il démagnétise toutes les cassettes (mais si, VHS, vous savez les trucs cubiques avec des BOBINES, des vraies, dedans) du vidéoclub de son meilleur ami (je ne sias plus son nom, je l'ai découvert comme acteur et il est vraiment bien). Que faire alors? Pasque els clients sont aps content! Et une petite vieille frappée les hacèle pour avoir Gosthbusters ("Gooshhhtbbbuuustterrs") alors, ba pourquoi pas sweder le film eux-même, de toute façon elle n'y connait rien? Sweder me direz-vous? SWEDER vous repondrais-je! En gros, tous ces films cultes, re-tournez-les, ré-inventez lzs, appropriez-les vous! Parce que le cinéma, c'est aussi ça, un truc jouissif où la cervelle des morts est faite avec une pizza et les scènes de nuit avec la touche "négatif". Le film est cool, très cool, pas prise de tête, tous les délires sont permis en gros. Et visiblement, els acteurs se sont éclatés. Le seul reproche serait le superbe final à l'eau de rose, du style les petits commerçant en lutte pour la solidaité face aux vilains du FBI... N'empêche, ce film me fait regretter ma collection de VHS, merde qu'est-ce que je les aimait ces petites. Simone vous quitte, elle s'en va pleurer en détruisant deux ou trois DVD (nan je dec, avouez que vous avez eu peur).





et sans transition aucune, on passe à une chanson, euh...méga...festive on va dire, vraient dans l'ambiance de l'article...faut que je pense à synchroniser ma playlist avec mes articles.







"Yeah I was a child of the suicide and the leisure
Oh one fine day I was led astray
To a burning collar
Said what's your pleasue

I was born in the four minute warning
My old man said as he shook his head
"Ohhh, fuck this...

It's a long, long way, oooh
From Bollywood to Battersea
Bollywood to Battersea
Bollywood to Battersea"





lundi 19 mai 2008

"Where The Only Way Out Is To Sleep And To Dream And To Cry Out Your Name"






Héhé...


ça change du Huhu....





Mais Simone est repartie à son Majestic d'amour, et d'ailleurs elle va en profiter pour rédiger une merveilleuse louange sur le Maestic...Oui, yen a bien qui écrivent "Gloire au chou" et en font des best sellers antiques, alors pourquoi pas moi? Je disais donc... (en couleur des fauteuils).



Gloire au Majestic




Petit Majestic, discrètement planqué dans une grande et célébrissime rue de Lille (celle de Béthune), masqué par un horrible et ignoble champs de médiocrité appelé Coolcat et qui est le repère des tektonikeurs...Musique beuglante et crânement maladive, qui en repousserait plus d'un. Mais qui a dit que c'était simple d'aller dans des endroits extraordianires? Coolcat, c'st la première sélection: si vous n'êtes pas prêt à exploser vos petites oreilles pour la culture supérieur, retournez-vous vers l'UGC, trois mètres plus loin, vente de bonbons et boissons, une vingtaine de salles et un plan marketing difficilement évitable. Mais si l'exceptionnel vous tente, entrez dans cet endroit sombre qui, sans les 5 affiches (on ne diffuse pas plus de films), ressemblerait à tout endroit décalé excepté un cinéma... Donc, une fois à l'intérieur, c'est pas difficile, suivez la queue quand il y en a, de toute façon vous ne pouvez pas vous tromper, il n'y a qu'une caisse. Généralement le/la caissier(e) a une allure d'artiste, un peu déjantée. Fin bref, une fois que vous avez un ticket (avec une scène de film en noir et blanc de l'autre côté, waouw, on peut même commencer une collection), faites un tour dans le hall/caisse pour regarder les afiches et les plans-séquences (rétrospectives sur le cinéma italien, Orson Welles, les palmes de Cannes, Al Pacino et tant d'autres), puis ensuite vous montez un grand escalier, nan nan ce n'est pas Saint-Pierre qui vérifie votre ticket, et ce n'est pas les portes du paradis mais simplement celles de votre salle que vous voyez, mais me direz-vous, c'est déjà pas si mal. Une fois dans la salle, vous pouvez observer les photos des 400 coups accrochées au mur bordeau, vu que vous n'avez rien d'autre à faire: ya aps de popcorn ici, d'ailleur qui essayerait de passer en douce avec un sachet de chips (le strudel qui pue est autorisé si il y a moins de 4 personnes) se ferait immédiatement dégagé. Pour passer le temps, vosu pouvez aussi parler avec vos voisins, de toute façon à force on finit toujours par croiser les mêmes habitués. Pis les gens sont sympa, un peu intellos d'accord, mais que voulez-vous ici c'est le seul ciné ou on ne précise pas quand le film est en V.O. tellemnt c'est évident. En fait, c'est plutôt si c'est en V.F. qu'on vous préviendra, et ça sera mauvais signe. Donc voilà, vous êtes installé dans votre vieux fauteuil (choisissez pas des films de plus de 2 heures, après vous aurez mal au ... dos) et pis la bobine se met en marche dans un délicieux craquement, l'image saute légèrement au début et puis après, impossible de vous décrire, de toute façon vous vivez dans le film, et plus dans la salle. mais voilà, le Majestic, dernier endroit (avec son annexe Le Métropole, à moins que ce soit le contraire) où aller au cinéma signifie encore y aller par amour du cinéma.







Waoouullll Simone, va te c (t/m/d:...?) oucher, si j'avais su que j'allais m'emballer comme ça...



Vous remarquerez le soin avec lequel l'article est illustré avec des photos qui n'ont mais alors AUCUN rapport avec ce qui est écrit.



Oui-da, waoouLLLLL, inculterreux! tourbétiens du cerveau!




(...article au dessus)







"Choking in smoke in to your angelic soul
Choking and smoking myself in to a hole

Where the only way out is to sleep and to dream

And to cry out your name"





(France, et merde , je chouine)

samedi 17 mai 2008

"Club Tropicana The Drinks Are Free, Stick One In His Face For Me"

Uhuhuh



ça faisait longtemps hein?


J'ai envie de dormir en plein après-midi, mais ce n'est pas le plus grave, ni pas le moins grave. En fait, on s'en fout? 'fin, nan je m'en fous pas, j'arrive plus à réfléchir! Ni à écrire, et vous remarquerez que je parle de moi à la première personne, c'est pas normal... on va y aller progressivement: Albion Ship, mais KESKITARIV? (deuxième personne) et du coup Albionship a reprit son état normal. ouf, on est pas sortit du pub, mais ya du progrès!








Pour commencer, une petite disgression sur "A Bord Du Darjeeling Limited", film de Wes Anderson, que j'ai adoré,pardon, que Simone a adorée, mais ça elle le savait avant même d'entrer dans la salle. Exactement le genre de films de série B qu'elle adore: une sorte de hors-temps cinématographique, loufoque, tendre, déjanté. En gros, trois frères qui partent en voyage initiatique en Inde pour retrouver leur mère. Elle ne pourra rien vous dire de plus sur l'histoire, étant donné qu'il n'y a aps d'histoire, juste une succession de petites scènettes qui sont plastiquement un régal pour les yeux. Et scénariquement aussi remarque, parce que els dialogues sont savoureux. Le film commence par un court-métrage qui s'imbrique sans vraiment s'imbriquer (tout de suite c'est plus clair) dans l'histoire, il s'agirait plutôt d'un avant-goût de ce qui va suivre, un mini-résumé du style et de la amnière désinvolte de triater les rapports humain, avec drôlerie et finesse.Et puis, il y a Adrian Brody, que Simone adore depuis Le Village et qui est trop craquant avec ses lunettes, Jason Schwartzman (ex-Luois XVI chez Coppola fille) et qui relancerait peut-être bien l'amour de la moustache chez un homme, et Owen Wilson, qu'elle découvre en tant qu'acteur dans un vrai film et qui est génial. Oui, Albionship a aimé, beaucoup même. Le genre de films d'où vous sortez de la salle avec un sourire grand comme ça, mais aps le même genre de sourires débiles bienheureux que ceux qui sortent des Choristes, nan, là c'est le vrai sourire de l'illumination.






"attends le mec il est grave, quand il sort un truc intelligent il se retourne pour voir si c'est pas quelqu'un d'autre qui a parlé"



(nan, ça ce n'était pas tiré du film.)


"What a lousy life for the washed up wife

of a permanently plastered pissed up bastard

Lousy life, lousy life

Kid was singing will I ever be free,

does this town hold no more for me

Club Tropicana the drinks are free,

stick one in his face for me "

Rien n'égalera jamais...pfff, soupir, le génie me laisse sans voix.



lundi 5 mai 2008

Kiss Me Properly and Pull Me Appart




Bonjour la compagnie! Je n'ai rien à vous dire, mais j'ai envie de parler, parce que depuis une heure je dois être silencieuse, et que mes doigts me démangent! tant pis, c'est vous qui récoltez...



Que vous dire? Simone, non, Albionship, mais enfin Simone quand même...Non, c'était pas ça... Albionship, donc, vous connaissiez sa démence légendaire, inutile de vous le rappeler, a découvert une bande d'illuminés qui vaut le détour, ce qui fait que maintenant elle croit que ça folie est un phénomène banal, et donc qu'elle peut laisser son esprit dépravé s'exprimer partout...mais oui mes ptits cocos! C'est l'entourage qui morfle en premier, mais je vous oublie pas, vous c'est juste après! Maintenant j'explique aux gens que 'ai vendu mon âme à Dieu, et ces cons croient que je parle de Jésus...On est pas aidé sur cette Terre, nan nan, surtout quand on est vertigist. Qu'importe...



Ah ba oui, au fait, Pete sort de prison demain, vu que "…la prison de Wormwood Scrubs est surpeuplée…" (je cite, parce que une excuse comme ça, je peux pas l'inventer, c'est au-dessus de mes moyens...mais bravo d'avoir osé!) Donc free Pete, et Albionship est contente, et en plus ça lui remplie des lignes. Vive lui, vive moi, vive nous, vive vous, et tout le monde s'aime dans ce monde de merde, elle est pas belle comme une fraise tagada la vie?





"-Martine!
-Sécu!"




Merci, La Cité De La Peur est décidement un film cul-tis-sime.




Donc, où j'en étais? Oui, je veux de la tourbe dans ma chambre, et parès, t'as un problème avec ça? moi pas, je veux un tapis tourbien avec des morts dedans.




Ah, et oui, si vous tapez "Albionship" sur google, ba vous tombez sur moi (pas mon blog, mais c'est moi quand même): regardez par vous-même , puisque vous êtes des septisciceurs. Donc e suis très fière, vous remarquerez qu'il en faut peu pour être heureux.





"And she was walking on the tables in the glasshouse
And verily bedraggled in the wind
Subtle in her method of seduction
Twenty little tragedies begin

And she would throw a feather boa in the road
If she thought that it would set the scene
Unfittingly dipped into your companions
Enlightened them to make you see"







Rien ne vaut un petit Last Shadow Puppets (the age of the understament pour ceux qui ne sont pas sorti de leur trou depuis un mois).
Ah, et Dirty Pretty Things sortent leur nouvel album le 30 juin, comme ça vous savez tout, tout, tout ce qu'il faut savoir.