The Whole World is Our Playground

Ecouter Reptilia vous fait partir très loin. Manger du chocolat aide. L'orgasme vous attend à chaque photo, même la plus anodine. sifflez en travaillant, à condition que ce soit She loves Sex. Habillez vous avec l'Union Jack. "Cherchez la femme", où pluôt l'homme. Sautez à pieds joints dans les flaques de gadoue en slim blanc. Jetez des pots de peinture complets sur vos murs. Crachez dans la soupe de cette bonne reine d'Angleterre. Courez à poils dans les jardins de l'Elysée. Criez "Elvis is dead, we did it". Achetez 5 guitares électriques et bousillez- les sur les limousines. Piquez une mini. Piquez DES minis. Faites des croche-pieds aux mômes. Carry Up On The Morning à fond n'a à ce jour bousillé aucun tympan. Macdo vends toujours des hamburgers gras et tout le mond se jette dessus. Le pied, c'est l'Underground. Taguez vos Converses, elles ne porteront pas plainte. Votre mur non plus. Pete à poil en couverture du cahier d'Histoire, ça en jette. Une banane, c'est plus beau à manger qu'une poire. Savoir que la racine carrée de 36 est 6 ne vous sert à rien. Savoir que les huîtres sont aphrodisiaques vous sert beaucoup. Quand vous donnez un coup de pied à un chat, il respire comme Dark Vador. Le clip de Magick est orgasmo-jouissif. Les lunettes chips que vous aimez tant sont des instruments de voyeurisme. Acheter un billet pour les USA est très gratifiant. Poser une bombe sur le passage de M Pokora aussi. Créer des T-shirt bananoseringuiphile également. Casser 3 assiettes est plus défoulant qu'argumenter pendant une heure. Votre dictionnaire de latin est très efficace pour allumer un feu en pleine forêt. Notre-Dame-des-Fleurs vaut le coup d'être lu. Un string gratte, un boxer noir vous avantage toujours. Si vous trouez votre jean, il faut l'assumer. Un vynile est plus joli qu'un cd. Un cd est plus joli qu'un dossier mp3. Facebook est une invention de génie. Si vous buvez le coca dans des bouteilles en verre, il a meilleur gout qu'à la paille. Vous pouvez construire une bombe avec de la litière pour chat. Les chaussettes trempées dans du cambouis font tenir des grenades. Vous appeler Georgette n'est pas forcément un tare. Vous appeler Simone non plus. Si la goutière est solide, vous pouvez faire le tour de votre quartier par les airs. Cracher sur les gens peut passer pour une marque de respect. Respirer le mêm air que son ennemi sans se boucher le nez est humiliant, voire suicidaire. Frapper un garçon alors que vous êtes une fille ne garantie pas une abesence de répondant. Dire à son prof que c'est un con est défoulant, mais pas conseillé. Faire pipi comme un garçon aussi. Si vous portez de la dentelle, vous vous sentirez plus femme. Se promenez en maillot de bain dans son jardin peut entrainer des complications. Sortir les poubelles en soutien-gorge est très risqué. Si vous vous allongez en plein milieu de la route, pas sur que les voitures s'arrêterons. Si vous allumez un feu en pleine ville, c'est vous qu'on va arrêter. Défiler en maillot de bain banane peut faire augmenter les ventes de celles-ci. quand votre soeur vous dis "c'est pas à moi ce jean?", il est trop tard pour lui demander si vous pouvez lui emprunter.Fixer un homme pendant 5 minutes est très bon pour le coeur, moins bon pour les yeux.



The Whole World is our playground, the whole world is our Playground.

Facebook c'est comme Canal +: passé une certaine heure, ya plus que du cul.

Votons, votons! non non, les élections ne redémarrent, quoique si yen a peut-être mais vu que je suis pas concernée...Nan mais même mineurs il faut s'engager! Vous inquiétez pas, la cause en vaut la peine! NME awards 2008, plus beaucoup de jours pour voter! En priant pour que l'album de l'année soit Shooter's Nation, amplement mérité. Un album qui arrive à commencer par une chanson aussi dingue que Carry Up On the Morning et à se finir par un truc aussi triste que Lost Art Of Murder, ... de toute façon je ne repartirais pas dans mes litanies sur les Babyshambles, on avait compris. Mais même, les NME awards c'est quelque chose! surtout en 2004... Là, faut bien avouer que c'était du grand art. Et voilà, je suis repartie dans mes sous-entendus que personne n'arrive à suivre. Va vraiment falloir que je me fasse soigner. Qoique , quitte à redevenir normale, comme tout le monde, je crois que je préfère encore me faire interner chez les vrais malades, psychopathes en tout genre.
là au moins on doit s'amuser un peu. "Dans son inconscient chacun de nous viole et tue" (ce n'est pas de moi non plus) il est sympa le monde, écoutons nos instincts, ça va devenir le grand nulle part très vite! Je crois que je vais finir par chercher une guitare afin de me tisser une toile de sons, c'est encore le truc le moins inutile que j'aurais fait de la journée. Assez triste pour un dernier jour de liberté... Vacances en un mot? Le grand RIEN, entrecoupé de petites sorties ciné. Triste à se tirer une balle. Mais bon, on respire, tout va bien, paraît que l'adolescence est le plus beau des âges. C'est bien mais ceux qui le disent sont trop vieux pour s'en rappeler.

Dance Dance Dance Dance to the Radio

Vu que c'est pas tout d'avoir un site, encore faut-il le remplir...
Par quoi je commence?
Par une envie d'évasion peut-être...Toujours le vieil appel de l'Amérique, ancré très très profond destination Californie et qui s'est réveillé , au contact de deux pellicules. No Country For an Old Man, au titre assez dingue, au suet qui l'est encore plus. Je suis pas là pour vous résumer l'histoire, vous savez taper allociné comme des grands j'imagine. Outre les flaques de sang qui sont filmées prodigieusement, de l'art même là où normalement yen a pas. Mais plus important, le désert texan. Rien que pour ça, on a envie de traverser sa rue pour s'acheter une bouteille d'eau, puis décoller direction Texas, et passer quelques jours en ermite. Enfin, le texas, c'est chaud...Pourquoi pas l'Alaska? ( là, ça devient facile de deviner le nom de la deuxi!ème pellicule...). Into the Wild, retour aux sources, parcours du combattant et voyage initiatique. Tout le mond en a le droit, seulement personne ne pense à l'utiliser. Tirons-nous d'ici, le bateau coule. Traverser l'Amérique, ses paysages, ses mythes, voilà la clé de la réussite. La tête un peu trop dans la poussière des routes surement...Mais qu'est-ce que je ne donnerais pas pour humer cet air irrespirable ne serait-ce qu'une fois...Rêver de nouveau, Vivre enfin, vraiment...Prête pour le voyage, tout est dans la tête, manque plus que les billets. Se perdre là où tout est possible, et y errer des années. Le finale est la mort? De toute façon, tout le monde va crever, alors autant avoir vécu avant.
Pas très gai tout ça, tant pis,faut vraiment sortir d'ici. Commencez déjà par le ciné. C'est ça, parlons ciné, après tout ça plait toujours. Et puis, vous avez surment des idées plus intéressantes à ce sujet que les poids lourds du cinéma français qui défilent sur un joli estrade, avec des jolies petites blagues et une jolie petite louange sur le septième art, c'est pas mignon tout plein? IN.SU.PPOR.TABLE. Eteignons la télé, allumons la radio! Bien sur, c'est la que je case Dance, dance, dance... Mr Curtis, vous qui vous êtes évadé à votre façon de ce quotidien pouri, ayez pitié de nous, pauvres couillons, et apportez-nous la grace..Votre musique comme échapatoire. Levez les bras, et , comme si vous alliez crever dans cinq minutes, dance dance dance dance to the radio.

J.S. you've got it all wrong...

Paraît qu'il faut toujours se présenter.
C'est plus poli. Surtout quand on débarque d'ailleurs, là où il y a du monde...Pourquoi tu viens nous voir? J'aime pas Skyrock. J'aime plus Skyrock. Déjà ça me définie mal. Vu qu'on ne m'as jamais vu en train d'écouter leur musique Bling-Bling. Trop terre à terre, peut-être très bien leurs chansons...manquent juste d'humanité, quelque chose qui vous transportent vraiment hors de votre chambre pourrie, de votre ville pourrie, de votre air pot d'échappementé...Ceux qui me connaissent déjà doivent se dire: "elle est en train de préparer le terrain vers son sujet favori...5 lignes sans parler de lui, c'est trop." J'y arrive, j'y arrive. Lui? Qui ça Lui? Avec un L majuscule en plus...L comme première L (ça c'est dit) mais aussi, et pluôt, comme Libertine. On s'approche du Lui... Je vous péviens tout de suite: cherchez pas à me comprendre sans le connaître, sans même savoir qui il est (remarque ils sont plusieurs dans ce cas). N'essayer pas de savoir qui je suis sans la B.O. en arrière-fond. The Haha wall en mode banal (j'allais dire normal, mais normal ne me correspond pas), Sedative en mode amoureuse passionnée, Carry Up On The Morning en mode je me réveille, Fuck Forever en mode vous me faites chier, What a Waster en mode je me dégoute, Their way en mode guillerette (très joli mot qui ne veut rien dire), Gang of gin en mode je triompherais de ma vie de merde. Vous voilà prévenus. Du coup, Lui commence à avoir son nom qui se profile à l'horizon... Ne sert plus à rien de le nommer de toute façon, vous avez compris qui c'était.
Bref. Donc Lui justifie mes sautes d'humeurs, mes envolées hormonales et mes cris de bête. Mais Lui n'explique pas tout. La musique fait partie intégrante de chacun de nous, je vous l'accorde. Mon coeur bat en rythme avec Messieurs Casablancas, Curtis, Jones-Strummer,... Mais la tête elle, si elle existe, serait plutôt bizarre à voir: deux yeux énormes qui dévorent le visage, crevés, cernés à force de trainer du côté des salles obscures. Grande passion qui ne laisse pas beaucoup de place pour le reste. Que voulez-vous? Je suis sensée faire quoi devant un Scorsese, un Burton, un Lang, un Tarantino, un Kubrick, un Gray? nan nan, pas Dorian, quoique... Dorian aussi en fait. Oscar Wilde, mon poète, vous êtes un génie. Je dirais bien le seul, mais se serait faux ; j'aime trop Beaudelaire, Rimbaud, Palahniuk, Burgess, Ellroy ou mon petit bijoux de Notre-Dame-des-Fleurs... 'pis bien sur Lolita, ah Nabokov... Musique, Ciné, Littérature, ah oui, c'est vrai, photo. Ben rien de difficile, j'aime la photographie en générale, Heidi Slimane en particulier. On m'accusera d'être partiale: est-ce que je l'aimerais autant si il n'avait pas photographié Pete Doherty? (tiens, je l'ai nommé. Faut dire que c'est tellement beau à écrire...je divague, je divague) Deux réponses La première: non, son talent passe transpire de toutes ses pellicules, e tpas seulement de London Birth Of a Culte. La deuxième: pas ma faute si je fais des fixations sur Pete, c'est ma drogue à moi (Ceci n'est pas un jeu de mot pitoyable, je ne m'y abaisserais pas, c'est juste que vous appelez ça comment quelqun qui se laisse crever quand il n'a pas entendu une chanson de lui de la journée, ou qui n'en a pas parler dans au moins 5 conversations différentes?), mon idole, mon mythe, mon Dieu. Vertigism, tu ne connais pas? Quelques tourmentés de l'âme, aux cervaux détruits par le gin, quid écident de s'assembler pour pouvoir se libérer de ce poids qui les bouffe, cette fascination pour un être indescritible.Enfin une religion qui vous laisse vivre au lieu de vous emprisonner. Mais je m'arrête là, la propagande c'est pas mon truc. "Politiquement plus consterné que concerné", vous l'aurez compris (non ce n'est pas d emoi, dommage...) Ma vie tourne plus autour des trucs qui vous font quitter la Terre qu'autour du grand cirque qui est sensé la faire tourner. What a lousy life, mais qu'est-ce que je ne donnerais pas pour la vivre tous les jours...Enfin bref, en attendant l'Albion, il faut bien se recréer son Union Jack correctement... Je vous esquisse le mien pas à pas...