mardi 30 septembre 2008

" Singing That Odd Song, Love Is On The Dole"

Entendu l'autre jour, tandis que je me tortillais sur ce morceau de bois dur comme du ciment que quelques uns appellent une chaise, la théorie suivante (promis, ce n'est pas de JCVH) : si toi, jeune public, tu t'en vas faire un tour dans les salles obscures, c'est que tu as besoin de mode d'emploi pour la vie, réflexion faite comme quoi personne ne se déplacerais pour aller voir un film qui nous montrerait comment faire une ratatouille puisque tout le monde le sait. Moi, de mon bout de bois, ça me fais bidonner, mais alors rien qu'un peu hein, le respect se perdrait sans cela. 1/ je ne sais pas faire de ratatouille et 2/ quand bien même je le saurais, si demain on m'annonce que Scorsese fait un film sur la ratatouille (et non pas un raton grisâtre), moi j'adore-j'adhère et j'y cours, j'y vole. Si je vais voir des films, c'est tout simplement parce que la vie n'est pas assez compliquée, tout va de soi. Et c'est là qu'on commence à se pencher sur le cas de La Belle Personne. Valait-elle un article complet rien qu'à elle? Je verrais bien une fois que j'aurais fini.



Commençons par ce que nous savons tous : le titre sent les savons d'hospice, le film est réalisé par Honoré à qui l'on doit également les Chansons d'Amour que je n'ai pas vu parce que une comédie musicale, si elle n'est pas signée Burton, est généralement loupée. La jeune interprète (Léa Seydoux, nom pas du tout évocateur, ayant déjà tourné avec le grand Loulou dans les Chansons d'Amour )a une frange, preuve que l'on s'est encore inspiré de moi, c'est dur. Le film est une adaptation très libre de La Princesse de Clève, ce qui signifie qu'au moindre jeune premier et gâté par la nature, faut pas vous emballer, elle ne sortira pas avec. Désolé de vous décevoir, c'est ça d'être cultivé : vous devinez les fins des films. Continuons avec toutes les zones d'ombres du film quand on n'a vu que la bande-annonce. A moins de continuer avec autre chose, le problème n'étant que d'avancer. L'histoire pouvant être simplifiée à son plus simple appareil (X aime Y, Z aime Y, Y aime Z, P aime Z, R aime Z, Q aime S et si tout cela était trop simple, H se permet d'aimer Q aussi ), je ferais un résumé à ma façon : prenez deux concombres, trois carottes et shakez moi tout ça. En d'autres termes... Junie est belle, très belle, c'est son ami photographe qui l'a dit : elle a la peau blanche et photogénique, la frange noire et photogénique, les yeux cernés et cinématographiques, et elle engonce son joli corps dans des pulls informes. Mais comme on ne fait pas de beautés sans âme et failles (seul Disney croit encore que cela existe), Junie est en plus très triste et très renfermée. Remarquez, on la comprend, sa maman est morte, ça en retournerait plus d'un une affaire pareille. Sans compter qu'en plus son père vit loin et n'est visiblement pas un modèle, on est chanceux ou on ne l'est pas. Alors Junie s'en va vivre chez son cousin ( et comme on est beaux de famile, le cousin est sublime et l'espace de trois secondes on oublie la Princesse de Clève et on se dit que ce qui suit va être l'histoire d'un inceste, le défaut d'un spectateur étant de toujours associer à l'écran deux personnes belles) donc, chez son beau cousin disais-je, et passe d'Henri IV (c'est classe) au Lycée Murs-Décrépis ( c'est moins classe ) . Le film débute là: premier cours de Junie, visite gratos du lycée. Je ne sais pas où Honoré a déjà vu une telle concentration de touffes chevelues, moi à part chez les Strokes je ne vois pas. Donc, touffe 1 regarde Junie, touffe 2 regarde touffe 1 puis Junie, le cousin, Matthias de son petit nom, regarde Junie. Pause, un rebelle qui ose s'afficher avec cheveux blonds et LISSES regarde Junie. Le professeur d'anglais regarde Junie. Junie ne regarde pas Junie, quoique cela aurait été comique, mais la porte. Une cassette, dialogue d'anglais que l'on entendra jamais dans une rue londonnienne, défile. "-What can you say about the two characters? Mmmh? What's your name, Junie, isn't it? -Quoi? - In English please " Junie n'est donc pas loquace, ni avec ses professeurs, ni avec les autres élèves. Pourtant, elle pourrait faire un effort, c'est quand même les amis de son cousin, mais la belle Junie s'en fout, puisqu'on vous dit que sa maman est morte, là, faut suivre un peu. Le blond-cheveux lisse, Otto de son petit nom, aime déjà Junie à la folie, même si c'est le premier jour, même si elle l'envoie ballader, même si il ne sait pas s'habiller, après tout elle aussi a un pull moche, ça en fait des points en commun. Et Otto est bien décidé à l'avoir sa Junie, puisqu'il a la bénédiction du cousin. Pas difficile en fait, on vous a pourtant bien dit que la mère était morte, Junie a donc un grand besoin d'affection. Ca tombe bien, Otto, il n'a que ça à revendre, des calins à la pelle. Et voilà, ils se mordent les lèvres contre l'escalier, et Otto a un sourire grand comme ça, tellement grand qu'il ne voit pas que Junie est encore triste. Junie va en italien. Bon cours, très bon cours. Comprenez par là: le professeur est jeune, beau, ténébreux, sombre, et porte un magnifique pull bleu . Votre coeur de spectateur bat plus fort, qu'est-ce qu'il est beau le Louis Garrel, ces deux là vont finir ensemble. Surtout que, suivant la nouvelle tendance, lui aussi regarde Junie. Et garde une photo d'elle qu'elle a perdu. Et, par une suite d'évenements malencontrueux , genre par exemple une lettre et Matthias qui aime un garçon, on découvre que Louis ne fait pas que la regarder, non il l'aime de tout son petit coeur et n'a la tête à rien, et surtout pas à ses amantes qu'il largue sans façon. Puis il s'occupe de le faire comprendre à Junie. Junie aime Louis aussi, et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes? Princesse de CLEVE je vous ais dit donc non, si Junie aime Louis, Junie ne va surtout pas finir avec Louis, malheureux que vous êtes! C'est là que je vous dit que la vie est trop simple : vous auriez à choisir entre quelqu'un de gentil, mais qui n'a que ça pour lui, que vous n'aimez absolument pas, que vous trainez comme un boulet, et le canon-intelligent-fleur bleue et qui en plus est un prof (soit dit en passant, ce type est donc parfait, et par voie de conséquence n'existe pas, mais peu importe, la magie du cinéma et ses voies impénétrables...) vous choisiriez quoi? (abandonnez trente seconde votre esprit de contradiction nul, siouplait )le choix est trop simple pour Junie, quand on est une héroïne on se doit de ne pas accéder au bonheur, c'est ça la philosophie princesse. Alors Junie va choisir Otto, mais va quand même lui dire qu'elle en aime un autre, c'est vraiment trop délicat, fallait pas. Le film est loin d'être parfait, la scène finale (Junie à la mer) frise même le ridicule. Les acteurs sont bons, Louis est très bon. Paris est filmé avec sincérité, rare pour toutes ces générations post-Fémis, rien que pour ça j'applaudirais presque, mais non, trop d'imperfections impardonnables (et en plus Otto chante, une catastrophe le passage chanté!). Quoique. L'autre film sur l'école du moment, Entre Les Murs, est cliché et dégoulinant de bons sentiments dès la bande-annonce. Ici, les ados et l'école sont filmé avec une sorte de finesse, et presque de la justesse (presque). Et finalement, en sortant de la salle, vous avez quand même une petite bulle blanche qui flotte sur le visage.

mardi 23 septembre 2008

"Every Night, Every Day"

J'éprouve comme un b'zoin pressant et vital de crier que non je n'aime PAS les Ting Tings. Oui, oui, je sais, demain je vous fais un article pour vous dire que je n'aime pas les endives... Je compléterais celui-là plus tard si c'est tout ce qui peut vous faire plaisir.

Broaf, je l'éditerais une bonne quinzaine de fois, et peut-être que le final sera justifiable. Je commence par annoncer que Doherty et Barât ont joués ensemble dans un petit bar pour la Fashion Week londonienne. Allez-y, je sais que vous êtes heureux.

N'oubliant pas mon devoir envers moi-même, j'ai regardé cet aprem "68 en version 69". Enfin, c'est le titre à quelques équivalences près, vous connaissez comme moi les aléas de la traduction. Soit trois jeunes livrés avec le pack jeunesse : heureux, beaux, dingues, tourmentés, obsédés, cigarette au bec et bouteille à la main. Matthew est américain et débarque en France où il compte parfaire son français dans les salles obscures de la Cinémathèque. Il y rencontre Isabelle (Isa pour les intimes très intimes) et Théo, frère et soeur, et jumeaux, et français par-dessus le marché, traduisez: cave à vin de papa très remplie. On est en plein Mai 68, et puisque les parents laissent le superbe appart-dédale vide, pourquoi ne pas inviter ce jeune ricain pour faire honneur aux bonnes vieilles traditions hospitalières des parisiens? Matthew vient, et ne sera pas déçu du voyage : vivre à trois, ça vous change la vision d'une chambre (ou d'une baignoire, mais alors immense la baignoire). Les Innocents partait avec uen sacrée promesse : sur papier, l'idée était brillante , et des personnages passant leur vie à imiter des films avec un sérieux triste, c'était pour le coup une invention qui valait le détour. Sur péloch, le résultat est bien différent : on ne voit ici qu'un interminable remake de ces mêmes films un peu français, un peu d'auteurs, un peu sur Paris, un peu sur le cinéma, un peu subversif, avec un peu de guitares lanscinantes dans la B.O. Louis Garrel a une sacrée gueule très enthousiasmante à l'écran, mais quel piètre acteur, on y croit, allez, 3 secondes? Eva Green elle aussi en fait trop, quoique finalement à côté de son frère le jeu en devient presque juste. Seul Michael Pitt vaut le détour, ce type est extraordinaire, la tête d'américain la plus crédible depuis Matt Damon. Ce qui me fais pour le coup regretter encore plus de ne toujours pas avoir vu Funny Games US.

Le NME propose une série de photos faites en prison de stars, vous savez, ce petit bout de papier où un type tenant une pancarte regarde l'objectif avec la visible intention de tuer la personne de l'autre côté de l'objectif. Johnny Cash y est impressionnant, et Elvis vaut le détour.

Morrissey et Marr s'apprêtent à sortir un best-of des Smiths. Enfin, j'imagine que cela doit être les Smiths. Oui, oui, c'est les Smiths. Morceaux rares (et précieux) et hits, et l'extase des fans au milieu. Morrissey, Morrissey, quand je pense qu'il y a 5 mois il était à Lille... bref, bref, on s'en fout si on est pas concerné.


Ok, j'ai dis du mal de Louis Garrell, mais enfin c'est un type passionnant. J'ai saisi ce soir seulement son entretien de Septembre pour les Cahiers et ma foi on retrouve tout ce qu'on pourrait atteindre d'un jeune acteur français bien héritier de la Nouvelle Vague: des idées, de la culture, du savoir, de la passion et Jean-Pierre Léaud.




Je viens de voir Max Boulbil en passant devant la télé, et par une association d'idées euh...je sais pas moi... je me suis rendue compte que je n'avais pas dis : "Calvin je t'aime". ce qui est à présent chose faite. Je n'ai pas trouvé dernièrement meilleure façon de commencer la journée. Et comme en plus il a un Ipod qui lui est dédicacé eurr..ma foi, c'est la classe. Jaune banane en plus. On arrêtera jamais le progrès.



Je me suis trouvée une nouvelle meilleure amie (dixit le ELLE, qui kiffe tellement sa race des girls next doors) en la personne d'Agyness Deyn. Une môme poussin qui a mis le grapin sur un membre des Paddingtons et déclare avoir coupé ses cheveux à 12 ans pour ressembler au Clash, moi j'applaudis des deux mains.

mercredi 17 septembre 2008

" Save Me From The Secateurs" (bis)

Toute chose ayant un début, je dirais que l'inspiratrice titilleuse de ce qui suit est un chou-fleur. J'ajouterais que cet article n'est, comme à peu près tout ce qui se poste sous le pseudonyme d'Albionship, pas de moi. Non, franchement, moi je ne vous ferais jamais d'articles aussi mal rédigés et inutiles. Moi j'aime mes lecteurs. C'est pas moi.

Jeunes et cultivés du monde, unissons-nous. De part chez moi, j'ai un bon milliards de bouquins, un bon millions de cd et un autre bon millions de dvd à acheter. Je ne suis pas milliardaire ,tant pis pour ceux que cela décevra (mais je suis bien partie pour devenir femme de milliardaire, pour ceux que cela intéresse ). Ce qui signifie que je dois choisir entre Control, Le Cuirassé Potemkin, le livre d'Horsley (au passage, toi jeune vendeur du Furet du Nord, la prochaine fois que je te demande si tu as un livre d'Horsley, tu es prié de ne pas répondre, hilare, "HUUUUXXley mademoiselle, parce que la demoiselle t'emmerde, elle a une tête à ne jamais avoir lu le Meilleur des Mondes peut-être?) et un album du feu Joe Strummer. Pour le coup, même Corneille n'avait pas inventé un dilemme aussi insupportable. Et après ils tapent séchement avec un plaisir tout naturellement sadique sur le téléchargement illégal, et peste, ça non plus je le cautionne pas. Moi, ce que je propose en toute humide humilité, c'est de fonctionner par forfait, comme pour ces abrutis d'UGC: 50 euros par mois pour se servir sans limites dans les stocks de la Fnac .ET voilà comment Simone a résoud la crise du disque. Merde, je vous avais bien dit de voter pour moi, personne au gouvernement n'y avait penser, alors qu'ils sont diplômés EUX.

Quitte à parler pour ne rien dire, autant y aller jusqu'au bout. Est-ce que quelqu'un ici est une âme CHARITABLE et AIMANTE avec assez de FOI en l'HUMANITE pour me dire ce que j'ai fait à Blogspot pour qu'il me déteste. Cet enfoiré de site ne me permet toujours pas de remettre des liens dans mes articles, ni de glisser de l'italique dans le texte, ce qui fait que tout mon article est pourri par ces immondices de lettres majuscules. De plus, je ne trouve toujours pas de couleurs qui aillent entre elles pour les liens, ça me déprime profond. En plus, on m'avait promis un cd de LOTP avec le Voxpop et je ne l'ai pas eu, je suis sensée être de bonne humeur peut-être? Je vais vous régler tout ce foutage de tronche civil à coups de rasoir, on a voir si ça va vous faire rire un peu.

mardi 16 septembre 2008

" Save Me From The Secateurs"

Donc, oui, j'ai l'abum des LSP. Enfin. Il était temps. Bon, me direz-vous, tant qu'il restait un exemplaire en rayon, il n'y avait pas le feu au pub. Vous voulez que je vous compose une petite scène? Ok, j'ouvre l'album sous vos yeux volés. Je l'ai dans les mains, et ah, mon pete, j'en jouis (ça fait très longtemps que je n'ai pas acheté d'album) : c'est en édition tellement-limitée-que-trois-moi-après-elle-est-toujours-en-bac. C'est tellement beau tout ce carton blanc quand c'est neuf, les coins sont intacts. Il y a un plastique moche devant, mais transparent, c'est plus pratique pour repérer le titre de ce que vous achetez. Etiquette du prix: acheté au Furet du Nord, secteur 4, 16,70 euros. J'hésite à vous mettre le code-barre. Domino reccords. Sur la tranche du côté, The Last Shadow Puppets en noir et The Age Of The Understatment en rouge bordeaux (sûrement la couleur du futur polo des lycéens du CDM, le jour où je ne serais vraiment pas inspirée,je vous parlerais de cette odieuse conspiration). Avant de poursuivre, je vais sur I-tunes pour faire succéder Radioactivity de Kraftwerk à Wainting Room de Fugazi (mon carl, que tout cela est BON). Tranche avant (doigts actifs) , LSP et tutti quanti parce que on ne change pas une équipe qui gagne. "Featuring Alex Turner & Miles Kane" . MILES TU ES MON PREFERE, J'ADORE-ADHERE A TON PRENOM, c'est presque aussi beau que Simone. "Un évenement ffff -sisi je vous jure- de Télérama". J'ai beau lire télérama, je ne connais pas la signification de ffff. Fouteur Forcené de Fil Frappé peut-être. Et une séléction FIP et PIAS aussi, blanc sur fond noir. La moitié du prix de l'album semble être partie dans un emballage publicitaire, est-ce que je le garde par espect pour mes maigres finances? A voir. Au dos, carré noir sur blanc, sobre, c'est beau à en pleurer dirait Wagner. Tiens, oui, je vais aller mettre Wagner pour poursuivre. Avec la liste des chnasons donc. Oui, la musique classique est la seule asssez puissante pour m'exprimer quand j'ouvre l'emballage, moment oh que crucial, summum de tout. SCCRRRRCHT. poubelle. Waouw, la couverture est super agréable au toucher, inattendue. Voilà à quoi je vais passer ma soirée: carresser une couverture avec une nana qui, euh...je pense que c'est retire ses collants. Ou les enfile. Ou les file. Ou se gratte parce que son rasage ne date pas d'il y a cinq minutes. Que de questions soulève cette jeune blonde, décidement. Très jolie chemise, je veux la même. J'enchaîne avec Beethov et j'ouvre la pochette. Tout blanc, ces jeunes hommes atteignent des sommets dans l'art de la sobriété. A gauche, écitures noires que je ne vais pas retranscrire, parce que c'est un texte terriblement débauché. A droite, un cd, merde, si je m'attendais à ça... Et entre deux couches de cartons, un livret. Mieux que les kinders surprise je vous dit. Un petit coup de CSS, tant pis pour ceux que cela décevra. Couverture du livret, en surexposé parce que on est artiste ou on l'est pas, nos deux trublions qui sont mignons tous pleins sur une route goudronnée. Pages suivantes blanches, texte noir ( serait-ce une invitation pour le mariage d'un des deux avec la grande blonde?) et de petites photos genre "regardez mon album photo". Avec plaisir mes amours!




Je suis heureuse, tellement heureuse, c'est de toute beauté. Même les anglais adoptent le petit pull moulant de Katerine en magnifique couleur aubergine. On arrête pas le progrès.

"Didn't they explain? You Have To Play The Game"





Futile :adjectif:Frivole, dépourvu d'intérêt, voir inutile.
Exemple: Simone a écrit un article futile juste pour dire qu'elle a acheté l'album des LSP.

dimanche 7 septembre 2008

" Come An Armagedon"

Euh, non, je ne parlerais pas de la rentrée, parce que j'avais compté ne pas le faire. Désolé pour ceux que cela decevra, mouchoirs à 1 euro en un clique, je vous dirais où. Mais franchement, de tous les sujets inutiles, l'histoire de votre voisin et votre emploi du temps atteind des sommets. Non, vraiment, tous ceux qui sont là sont juste tellement impatients de connaître le nom de mon prof. Non, non, Simone irait plutôt dire que à la pêche aux moules, moules, moules, elle ne veut plus y aller maman, parce que comme dirait l'autre, ça en fait des clients pour un chirurgien esthéticien. Gallagher brothers (s'il y a une faute, on dira qu'elle était voulue) a proposé son top 10 des meilleurs groupes, et je suis pas d'accord. Etant donné que mon avis est au moins aussi important que le sien, je me permets de le partager. Vous êtes gâtés. Le nouveau parfum de Lanvin s'apelle... Jeanne. Voyez l'ironie de la chose, je choisis (enfin, choisir...) les noms les plus désuets (oh, c'est mignon) et même là je suis à la crête de la hipe. Terrible, terrible, d'être parfait, vous n'imaginez même pas. Et même gonflées, mes chevilles entrent dans mes pantalons. Encore un article pour ne rien dire? Vous n'avez même pas idée! Découverte du jour, se sont des photos du jeune et ô combien sublime Adam Green, ce qui me donne envie de dire que OH MAIS VIVE LA LITTERATURE ET LES LECTEURS, juste pour pouvoir mettre ce qui suit. Voilà, article fini, et ma photo y est.




Ahahahah, ah, ah, ih, oh, ah, franchement, vous avez cru que j'allais m'arrêter là? C'est meugnon. Déjà, je voulais dire que je suis retournée voir the Dark Knight, et que why so serious n'est pas là de s'arrêter. Que POILS. Que j'aime Lampedusa. Et Kerouac. Et que pour l'instant c'est à peu près tout. Pour l'instant.

(j'en avais même oublié le titre de l'article, c'est un comble).

lundi 1 septembre 2008

"So Sow It Up Kid Have Some Clout, We'll Do Some Wine And Fall About"

Aujourd'hui, ouverture du magazin de fringues de The Kooples. Je vais me pencher sur le cas Didda Jonsdottir. Bush est un nouveau sujet cinématographique. Facebook a détrôné Myspace. Brad Pitt joue dans le prochain Tarantino. Le nouveau James Gray sort dans deux mois. Les Affranchis de Scorsese ressort sur grand écran et j'ai peur. La Proud Gallery de Londres consacre une expo à Johnny Cash. Le LSD va peut-être servir de nouveau dans les traitements...Aïe, ma hanche me fait vraiment souffrir docteur. Le pop-corn est interdit dans certaines salles de ciné brittaniques; pays d'adoption je t'aime. Alison Mosshart collabore avec Alex Turner pour une chanson seulement, dommage. Choke de Palanhiuk (iiiiiiiiiii) est adapté au cinéma. Moustic a épousé Katerine. On attend des nouvelles de l'album solo de Peter Doherty. Et des Strokes.



suite du fash info à 20 heures.