vendredi 25 avril 2008

"And No One's Going To Sell You Any Alibis..."

"see these two cold fingers, these two croked fingers I show..."



Simone s'excuse si son taux d'absentéisme devient trop important, mais elle est sur un projet d'écriture qui lui bouffe tout son temps. Donc, laissez-là exprimer son génie (ou sa connerie, ça reste à voir) au lieu de râler, bande de bouffons!





"First stop was the bucket shop
To pick the pieces of your life up
And scream looking glad
Since all that you despised
You're thinking back to the Chicken Shack
And the smashing of the glass
And the knife in the back, well
My boy who would've believed your lies?
All your lies? "




The Libertines (pour changer) -->clik<-- Bucket Shop

samedi 19 avril 2008

"And Everywhere, I'm Walking Like A Cyclop, But Don't Mind Me"

Article coup de gueule-rêveur pour changer...



Donc, pour ceux qui n'avaient pas suivie, je suis partie en Irlande, et je suis revenue plus fan des Libs que je ne l'étais, ce qui semble assez dur à imaginer. Maintenant, ça prend des proportions vraiment inquiétantes...pour mon entourage, moi ça me va très bien, si ce n'est que maintenant j'ai la facheuse habitude de fixer le vide sans m'en rendre compte, mais passons, les effets secondaires ne sont pas le plus important.





L'occasion donc de rappeler le talent et le génie des Libertines, mais c'est autre chose encore dont je voulais faire part, voyons....En fait, ça me saoule de faire des effets de style, je voudrais juste tout balancer, comme ça, comme ça vient...de toute façon je serais incapable de vous retranscrire la place qu'occupe nos trublions anglais dans ma vie.






Erm, et me voilà à vivre des heures avec une seule musique dans la tête, une poignée d'images devant les yeux et une énorme boule, mi-joie mi-envie de hurler, voir de pleurer, au ventre. Tout y est, les accords parfaits, les paroles incandesceantes, l'histoire tragique de deux hommes à la relation compliquée...Sauf qu'ici tout est naturel, ce n'est pas un rôle, pas un genre qu'ils se donnent. c'est l'innocence et la pureté au milieu des hordes de calculateurs. Et puis, il faut les voir jouer, désespérés, secouant frénétiquement leur guitare comme si les 5 minutes qui leur restait à vivre en dépendait. Mais comment c'est possible? Est-ce seulement possible? Et comme à chaque vision, c'est l'univers sordide et pitoyable dans lequel on évolue qui s'éloigne et disparait, remplacé par un paysage de sons, de mots, et de gesticulations. Déconnectée, c'est le seul état que je connaisse quand j'écoute les Libertines. Déconnectée et pourtant si vivante, plus que je ne le suis jamais dans la vie.




Et puis il y a ces deux génis là, aux idéaux de vie décalés, romantiques dandys, vivant dans leur monde, chantant quand il faudrait parler. A la maturité impressionnante, et pourtant simples, fous et gamins quand ils veulent. Purs, toujours. Comme si l'imbécilité humaine ne pouvait venir ternir leur relations. Faux, mais peu importe, on y croit. On y croyait...Je ne verserais pas dans le cliché en disant qu'ils étaient mieux ensembles, et qu'ils n'auraient jamais du se séparer...Tout le monde le sait ça. Et quand j'écoute Babyshambles, ou les Dirty Pretty Things, je me dis qu'ils ont bien fait. Non, ces deux groupes ne sont pas la copie conforme des Libs: chacun tend le style des Libs à son extrême: Carl et ses guitares fracassantes, Pete au style plus bucolique. maislà, tout s'étiole...













Coup de gueule donc, qui arrive. Envers Monsieur Doherty, que je soutiens pourtant envers et contre tout. Pour moi, dans la séparation des Libs, le coupable est Carl, qui se range de l'avis des deux autres. Je dis pas, les Libs, c'est eux quatre, mais reconnaissez quand même que c'est surtout Peter et Carlos. Carl, donc, je disais, qui pose des ultimatums au lieu d'essayer de comprendre. Il a quand même toujours eu un statut de privilégié, charisme incroyable, belle tête, voix torride. Pete, c'était le chiot fou, à la coiffure extravageante, au visage enfantin, qui fournit la plus grosse partie des paroles et ne récolte que les miettes. Merci les maisons de disque, surtout celle-là, qui détruit un couple de génies et nous pond un Best-of au bout de deux albums...Donc, je disais, le seul moyen qu'a trouvé Pete pour s'exprimer par lui même et nous plus par l'entité Petécarlienne, c'était la drogue. Discutable, mais voilà, quand il y a un appel au secours, personne ne répond. Bref, ceci pour dire que les Babyshambles sont pour moi nécessaires, l'occasion pour Pete de s'affirmer par lui-même.




Jusque là tout va bien, il a un peu de succès, parce que c'est Pete Doherty quand même, il dénigre Carl, ce qui est moins sympa vu que son groupe est quand même très bon. Babyshambles donc, au style brouillon et jubilatoire, Pete n'a rien perdu de sa verve. Puis...rencontre avec la fameuse mannequin aux longues jambes, et ils s'accrochent comme deux sangsues. Le début de la fin, mais alors en beauté. La jeune innocente -laissez-moi rire- donc, qui entame la spirale infernale au bras de l'hideux junkie. Pat est viré, remplacé par Mike, cet espèce de tête de pervers assassin profiteur. Et Pete fait la une des torchons, la drogue appelle la gloire qui appelle la drogue, tout ça de façon malsaine. J'aimerais juste faire remarquer ceci: sa relation avec Pete a permis à Kate de s'en sortir égale à elle-même, mais avec en plus une quantité de contrats astronomique. Par contre, Pete avant-après...a se taper la tête contre un mur. Entre temps, Heidi Slimane ramène son appareil, fait des photos sublimes, et tous les magazines de mode transforment Pete en une icône hype et branchée, en effaçant tout la complexité de son être pour en faire un produit standartisé: "rockeur", "poète maudit", "dandy", sauf que le sens de chacun de ces mots est dénaturé. Et voilà, aujourd'hui Pete part un bon bout de temps en prison - en espérant que du coup, la fièvre qi l'entoure va baisser- et on peut voir de plus en plus de fashions écouter Babyshambles, mais alors attention, que Delivery. Dernier coup de poignard en date: c'est , lisez les commentaires..."j'kiffe c'te chanson", nan mais sans déc', ON EST OU LA?J'en peux plus, je vous jure que je fais une overdose, de tous ces talents vulgarisés. Et de tous ces paris sur la date de sa mort, les remarques du style "dans 5 ans il crève d'une overdose et on aura la paix, tout le monde l'aura oublié". Mais merde, on parle du même homme là? Une galerie parisienne va exposer les oeuvres de Doherty et vous savez quoi? je ne sais même pas si j'ai envie d'y aller. Si c'est pour croiser journalistes de mode et blondasses standards, à quoi bon? Alors Pete, par pitié, arrête. Souviens-toi que tu as des adeptes que tu as totalement boulversé au plus profond de leur être, tu leur a fournit la réponse à leur existence. Ais un peu pitié pour eux qui souffrent de t'avoir suivi et défendu envers et contre tout et qui se sentent aujourd'hui délaissés, avec la désagréable impression de s'être fait avoir. Si tu préfère la gloire éphémère au côté de canons sans cervelle et sans culture, sans assez de recul pour comprendre ton existence et ta révolte plutôt que l'adoration de tourmentés qui te suivront jusqu'au bout, même si tu deviens un chanteur de rien du tout dans le métro, libre à toi. Mais souviens-toi des guerilla gigs, des albions rooms, et réfléchis un peu au public que tu te choisis.Parce que tu es n'es pas n'importe quel clampin, tu es Pete Doherty.









Oui, oui tout celà est déprimant. Et bien sûr, je me suis encore emballée sur trois pages, Simone va chercher tes calmants au lieu de parler de Pete.



Tsss ça ça me suffit. Trust him, hope and believe.


Sinon, Simone signale gentiment mais fermement à ceux qui se reconnaîtront que son style a beau être pourri, c'est quand même son style. Elle aimerait donc que ceux qui avaient une façon d'écrire différente garde leur façon d'écrire au lieu de plagier la sienne, parce que sinon elle a la désagréable impression de se relire ailleurs, et du coup elle ne lit plus rien du tout. Par contre, si jamais il s'agissait d'un hommage, mille excuses, merci juste de préciser : "ceci est en hommage à l'inimitable et l'irremplaçable Albionship". Sur ce, bonne nuit.





Ah, et oui, j'en ai marre des playlists. Maintenant, vous n'aurez plus le droit de télécharger que la chanson à l'origine du titre de l'article. Ca vous apprendra.






"And everywhere I'm walking like a cyclone
But don't mind me
How's it fair, I'm a magnet for psychos
And pretty riddles keen on me
You can lightly sling into my open heavy loving heart
First touch and kissy kissy

Slash-back razor days
The boys not to behave
Oh they're like hoodlums"




The Libertines --> Cyclops

mardi 15 avril 2008

"You're A Legend In Your Mind But A Rumor In Your Room"

10 jours de silence, Simone vous revient enfin!












Anyway, anyway, what about the way (...)? Ireland, Ireland, I'm talking to you. Enfin, nan, vu que là je suis chez moi et pour l'instant chez moi c'est à Lille (on verra par la suite, tout pays anglophone me convenant à la folie) donc c'est pas l'Irlande qui vous parle, comme je vous plains!





Donc, oui, mes cheveux se sont envolés au vent irlandais, mes mains ont touché la TOURBE, mes pieds ont foulé le sol irlandais. Je vous parle un peu du voyage? Allez, ça me fait plaisir. Je vous fais un petit roman photo?? ok...Dans le désordre, ne cherchez pas de logique, contentez-vous de lire (c'est déjà pas mal).







-Mes Converses, mes amours, mes déesses ont donc été la paire de pompes élue pour m'accompagner. Taille 5 1/2, cuir noir, taguées tatouages des Libs sur le côté, surnommées les Kids Of Albion Official Shoes, elles sont à présent, et depuis peu (2 jours) annotées sur la semelle: "Ces Converses ont marché sur les pavés de Harry Street- Dublin" Et oui, Harry Street mes amis! (Ceux qui ne connaissent pas Harry ont tort et feraient mieux d'aller crever dans un coin au lieu d'afficher leur ignorance avec ce sourire béas). Ouais, en fait, il y a eu plein d'hommages à Harry, mon amour de kangourou - ça me fait penser d'ailleurs que j'irais récupérer les photos du Harry Café (oui, on en a fait des efforts). Donc, je disais, Harry Street, avec la statue d'un bassiste, et en fait ya quasiment que ça, ce n'est pas une grande avenue nan plus.




-Il ne faut pas pousser mémé dans la tourbière (dans les orties nan plus d'aailleurs). Eyy d'abord, on est pas chez elle. Si tu ne comprends rien, passe ton chemin. C'est pas la fête à neuneu nan plus, j'écris pas pour les incultes. Déjà, si tu connaissais pas Harry, tu ne vas pas continuer en ignorant mémé nan? Malapris. -Give me an F/-F!/-Gimme an U/-U!/Gimme a C/-C!/-Gimme a K/-K!!






- L'Irlande est un pays venteux, mais il faisait beau, c'est déjà ça...C'est humide, il y a de petites montagnes, beaucoup de terre et de champs. Le Buren: "Pas assez d'eau pour noyer un homme, pas assez d'arbres pour le pendre,pas assez de terre pour l'enterrer" (mais assez de cailloux pour le lapider). L'irlande, c'est PEATLAND (!!): de la tourbe (PEAT-!!-) dans laquelle on retrouve des cadavres. Je veux la même chose dans ma chambre. Ce point était la leçon de géographie de tante Simone, je ne reviendrais pas dessus.







-Dublin est une ville géniale, vivante, bien anglophone: Burger King, Starbucks, Top Shop au coin des rues. A ce propos, j'ai trouvé un magnifique boxer imprimé Union Jack, je trouvais important de vous le souligner. Avouez, vous êtes un peu jaloux là... Bourrée de pubs, mais ça, c'est normal, ah et oui, il y a des étudiants qui traînent partout ,Trinity College oblige- université prestigieuse avec des profs qui ressemblent à De Niro (vieux, pas jeune, faut pas rêver non plus)-donc, des étudiants très mignons et très irlandais GOSH! nan mais franchement, Dublin vaut le déplacement. Pour Gallway, c'est une autre histoire...très glauque, ça rappelle les petites villes "balnéaires" de la côte est anglaise...Il y fait pas bon d'être jeune en gros.







-La principale source de revenus du pays, j'ai nommé la Guiness, est donc reconnue d'utilité nationale. Soit. Au dessus de 18 ans, il faut donc l'honorer le jour, la nuit. Avant 18 ans, bah un conseil, faut avoir l'air assez vieux pour échapper aux contrôles. On ne parlera pas du whisky, mais ça ça me dérange moins vu que je n'aime pas. Par contre, on abordera la question du shooter: oui oui, je suis à présent détentrice d'un superbe verrinet (petit verre doudouille) "Doherty". C'est beau à en pleurer. Presque aussi beau que mon polo (t'as fait quoi en Irlande à part acheter?euh...dormir et manger?) que je vous montre même si vous vous en foutez, vu que de toute façon c'est le même tarif.






Pour ceux qui se posent la question: nan cet article n'est pas fini!Mais j'ai pas encore les photos donc je m'arrête. Et en fait, je suis en train de me dire que je n'ai aucune, mais alors aucune envie de vous réciter gentiment mon voyage. Vous ne le méritez pas, et de toute façon ça ne vous interresse pas. Bye Bye donc, article clos.





Au fait, Pete est renvoyé en prison. La mauvaise nouvelle de ce retour de vacances. Juste beaucoup de soutien, en souhaitant qu'un jour cet engrenage s'arrête.




"Oh look at how they laugh at you now
What did you do to make this bad become true
For heavens sake
such a silly mistake
You’re a legend in your mind
But a rumour in your room"



Dirty Pretty Things -->clik<-- Blood Thirsty Bastard

jeudi 3 avril 2008

Thousands Miles Seems Pretty Far...





"My name is Lester B
urnham. This is my neighborhood; this is my street; this is my life. I am 42 years old; in less than a year I will be dead. Of course I don't know that yet, and in a way, I am dead already."





Sujet du jour en Anglais : What Is Your American Dream...





Pas mal non? Surtout quand on possède bien un rêve américain... Parce qu'après, il y a bien le rêve américain... Mais c'est un peu plus décevant... My American dream, full of freedom, American way of life, full of shit...

Ce qui devient interressant, c'est lorsque cet idéal est brisé... Je vous avez bien promis un article sur American Beauty, non? Inutile de répondre, que vous soyez content ou pas, je vous le fais... Bon, pour commencer, film à VOIR, et peut-être même à revoir, ce que je n'ai pas encore eu le temps, hélas, de faire. Situation initiale que nous connaissons tous: un homme, la quarantaine, sa femme, et leur adolescente boudeuse ( " Janie's a pretty typical teenager. Angry, insecure, confused. I wish I could tell her that's all going to pass, but I don't want to lie to her." . Belle maison, pelouse tondue, voiture reluisante, un boulot, et bien sur dodo. La rencontre avec une amie de sa fille, Angela, blonde, plantureuse, aguicheuse -une vraie salope pour ceux qui ne comprennent pas les understatments - et Lesther se rend compte que sa vie est un amas de conneries, chose qu'il s'est touours caché: sa femme est une hystérique frigide, qui hurle à l'exorcisme si il a le malheur de "secouer son poireau" ( "Oh, all right! So shoot me, I was whacking off! That's right, I was choking the bishop, chafing the carrot, you know, saying "hi" to my monster!" ). Quant à sa fille, elle le méprise totalement, le considérant comme un être raté et pitoyable. Lesther rêve de sa blonde, fait du sport pour devenir attirant (l'acteur n'est pas mal du tout, il jouait aussi dans L.A. Confidential pour ceux qui l'ignoraient), rencontre un jeune voisin...décalé: Ricky, et se roule des joints avec lui, tant qu'à faire. Et puisqu'il en a marre de ce métier bien sous tout rapport où il joue l'employé de service, pourquoi ne pas plutôt postuler pour le Burger King? L'occasion de se rendre compte que sa femme n'est en réalité pas si frigide que ça, puisqu'elle se tape un has-been de la télé et apprend à manier les armes, pratique qu'elle maîtrise rapidement très bien. Donc, Lesther envoit chier son patron, et l'annonce à la petite famille ( "Carolyn: your father seems to think this type of behaviour is something to be proud of/ Lesther: and your mother seems to prefer I go through life like a fucking prisoner while she keeps my dick in a mason jar under the sink".), sauf que tout le monde s'en fout( "I didn't LOSE it. It's not like 'Whoops! Where did my job go?' I quit."). Il faut dire que Janie a d'autres choses en tête, le fameux voisin dealer qui la filme par exemple, et lui prouve qu'elle, la bizarre, la décalée, la ronde, vaut bien mieux que sa copine tellement affligeante de banalité ("Angela: yeah, well at least i'm not ugly!/ Ricky: yes you are, and you're boring and totally ordinary and you know it") ... Et comment vivre en ado tranquille quand votre père allume votre amie de 16 ans (" I need a father who's a role model, not some horny geek-boy who's gonna spray his shorts every time I bring a girlfriend home from school.") et que votre mère vous abandonne dans vos problèmes ("Carolyn: are you trying to look unattractive?/ Jane: yes!/ Carolyn: well, congratulations, you've succeded admirably")? Autant se tirer de cette vie où on meurt au lieu de vivre...

Bref, en fait e n'arrive pas à vous rendre l'esprit du film, mais moi ça me rappelle l'écriture de Chuck Palanhiuk: subversif, amusant, un portrait de la société au vitriol...






Redacted...

I could see iron and wood all around,
Biggest nowhere, so much to see
Lands and freedom and infinity:
Close your blinding eyes for a second...

Humming leathered cars, old-noisy lorries
Warming asphalt, fevered checks
The ultimate motorway from anywhere who carries
you in the sound of a language mex.

Sandle flying in a whiteness of sky, roaring
Music of texan liberty, where are you going?
Loosing yourself in a living dream, where is
The narrow native spirit you leaved so pleased?







"A thousand miles seems pretty far
But they've got planes and trains and cars
I'd walk to you if I had no other way
Our friends would all make fun of us
and we'll just laugh along because we know
That none of them have felt this way"






Le ver de terre amoureux d'une étoile...





[Et je m'en vais voir There Will Be Blood ce soir... ]




PBB (pute blonde boulimique, parce qu'en plus elle est mal foutue) je vais te tuer. FERME TA BOUCHE quand tu (lui) parles, on dirait que tu va sucer dans dix secondes. Arrête de faire tressauter le truc qui te sert de fesses. ARRETE DE LUI PARLER. Tu te souviens que tu as quelqu'un? Tu te souviens qu'avant qu'il devienne quelqu'un que tout le monde aime, quand il était encore quelqu'un qu'on ne remarquait presque pas, tu IGNORAIS SON EXISTANCE. Pas moi. Je sais des choses que personne ne sait, toi tu ne le connais que superficiellement. Alors range tes lèvres sur-pulpées et ta face de rat blonde, casse-toi!




Bah nan, en fait non, on a loupé la séance...La preuve que les divinités, dieux et autres êtres sur-supérieurs n'existent pas (parce que les êtres supérieurs existent) ... c'est que dès que vous avez la volonté de faire quelque chose qui vous sorte de votre quotidien, quelque chose qui vous emmène plus loin que l'ordinaire, quelque chose qui pourrait vous transcender, quelque chose qui vous rapproche de l'art...et bien vous n'y parvenais pas, pour des motifs aussi futiles qu'une place d eparking, prise sûrement par un bouseux venu surconsommer à Auchan...Il n'y a pas de justice...






Playlist du jour:

*Chanson pour la route: "Side of the road "(ahah, jeu de mots nul) --> Babyshambles

*Chanson pour faire danser les filles: Chelsea Dagger --> Fratellis

*Chanson pour déclencher une baston: i predict a riot--> Kaiser Chiefs

*Chanson pour calmer une baston: All you need is love --> Beatles

*Chanson décrivant un lieu: Albion -->Babyshambles ou Arcadia (toujours des Babyshambles)

*Chanson méprisante: Baby's gonna die tonight --> Adam Green (on a dit méprisante hien, pas méprisable!)

Chanson pour un dimanche matin pluvieux: Lazy Sunday --> Libertines si vous voulez vous remonter le moral à cause du dimanche pluvieux...Sinon pour continuer à déprimer il y a Everyday is like Sunday -->Morrissey

Chanson de cow-boy: Cotton eyed joe!

Chanson religieuse: Transmission --> Joy Division, qui donne envie de se rallier à quelque chose si quelque chose existait!

Chanson de rage adolescente: Anarchy In The UK --> Sex Pistols, ou What a waster --> The Libertines

Chanson qui fait rire: Orgasm Addict -->Buzzcoks, Louxor j'adore--> Katerine et Party in a forest (where is Laura?) -->Wombats

La chanson ultime: aïe, ça devient dur...en ce moment ce serais Sedative des Babyshambles, mais rien ne me dit que ça changera


les liens viendront plus tard...