vendredi 22 février 2008

Dance Dance Dance Dance to the Radio



Vu que c'est pas tout d'avoir un site, encore faut-il le remplir...
Par quoi je commence?
Par une envie d'évasion peut-être...Toujours le vieil appel de l'Amérique, ancré très très profond destination Californie et qui s'est réveillé , au contact de deux pellicules. No Country For an Old Man, au titre assez dingue, au suet qui l'est encore plus. Je suis pas là pour vous résumer l'histoire, vous savez taper allociné comme des grands j'imagine. Outre les flaques de sang qui sont filmées prodigieusement, de l'art même là où normalement yen a pas. Mais plus important, le désert texan. Rien que pour ça, on a envie de traverser sa rue pour s'acheter une bouteille d'eau, puis décoller direction Texas, et passer quelques jours en ermite. Enfin, le texas, c'est chaud...Pourquoi pas l'Alaska? ( là, ça devient facile de deviner le nom de la deuxi!ème pellicule...). Into the Wild, retour aux sources, parcours du combattant et voyage initiatique. Tout le mond en a le droit, seulement personne ne pense à l'utiliser. Tirons-nous d'ici, le bateau coule. Traverser l'Amérique, ses paysages, ses mythes, voilà la clé de la réussite. La tête un peu trop dans la poussière des routes surement...Mais qu'est-ce que je ne donnerais pas pour humer cet air irrespirable ne serait-ce qu'une fois...Rêver de nouveau, Vivre enfin, vraiment...Prête pour le voyage, tout est dans la tête, manque plus que les billets. Se perdre là où tout est possible, et y errer des années. Le finale est la mort? De toute façon, tout le monde va crever, alors autant avoir vécu avant.
Pas très gai tout ça, tant pis,faut vraiment sortir d'ici. Commencez déjà par le ciné. C'est ça, parlons ciné, après tout ça plait toujours. Et puis, vous avez surment des idées plus intéressantes à ce sujet que les poids lourds du cinéma français qui défilent sur un joli estrade, avec des jolies petites blagues et une jolie petite louange sur le septième art, c'est pas mignon tout plein? IN.SU.PPOR.TABLE. Eteignons la télé, allumons la radio! Bien sur, c'est la que je case Dance, dance, dance... Mr Curtis, vous qui vous êtes évadé à votre façon de ce quotidien pouri, ayez pitié de nous, pauvres couillons, et apportez-nous la grace..Votre musique comme échapatoire. Levez les bras, et , comme si vous alliez crever dans cinq minutes, dance dance dance dance to the radio.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

t'inquiete un jour tu le fera :p
http://headshottershadows.blogspot.com/